A comme Alphabet Technico-génealogique
Comme je l'ai écrit
dans le billet annonçant ma participation au Challenge AZ de 2016, le thème de
celui-ci tournera autour des "gros mots" de l'informatique autour de
la généalogie.
A travers les
lettres de l'alphabet, je vais tenter de donner quelques notions sur l'informatique en général, avec son langage, évident pour moi qui vit de l'informatique depuis 20 ans, encore plus pour mes enfants pour qui un monde sans Wifi est un monde sans vie....mais beaucoup moins pour la génération de mes parents qui a vu un déferlement d'évolutions technologiques depuis 50 ans.
Et surtout faire en sorte de dédramatiser certains
sujets. Non, il n'est pas obligatoire d'avoir fait Polytechnique pour tenir un
blog. Non, il ne faut pas un Master de Sciences pour utiliser le fameux Cloud.
Je vais enfoncer
beaucoup de portes ouvertes. La plupart de mes lecteurs habituels connaissent
(souvent bien mieux que moi) les sujets que je vais aborder. Mais ils ne sont
pas ma cible habituelle de lecteurs cette-fois-ci. Qu'il m'en excuse par avance.
Cet alphabet, objet de ce Challenge AZ pour moi, ne
saurait bien sur être exhaustif. Pour cela, je
vous renvoie plutôt vers le site Geneawiki,
l'encyclopédie collaborative dédiée à la généalogie.
J'espère que ce
Challenge trouvera un certain public, alors n'hésitez pas à ajouter vos
commentaires.
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Pour terminer, et
pour que ce premier billet ne soit pas qu'une introduction, je ressors un
ancien article de mon Challenge 2014. Je l'avais écrit sous la mention XY, mais
ici, il sera sous le titre A comme ADN
Et je dois bien
avouer que 2 ans après, mon opinion n'a guère changé. Pourtant, de nombreux
internautes ont sauté le pas et fait leur propres recherches (Brigitte,
Venarbol, Hervé, Audrey...) mais pour le moment, j'attends toujours d'être
convaincu du bien-fondé et surtout de l'intérêt de la chose.
Je ne
dirais qu'une seule chose. Convainquez moi. Mais cela va être dur. Quand je
vois ce que propose déjà Google avec "juste" les dossiers d'1,6 millions d'anglais
Nul doute que les sociétés 23andMe, AncestryDNA et consorts ne manqueront pas de vendre bientôt les informations qu'elles collectent. Bientôt, ah non, cela a déjà commencé.
Rendez-vous demain
pour le second article : B comme Blog
Cela fait écho au courrier des lecteurs du dernier numéro de la RFG. Une lectrice a écrit : ce n'est plus de la généalogie, c'est de l'informatique ;-)
RépondreSupprimerL'informatique a très clairement modifié la façon de pratiquer la généalogie, mais c'est aussi le cas de beaucoup de secteurs de nos vies quotidiennes.
SupprimerJ'espère surtout que ceux qui me liront et qui pensent comme la lectrice que tu cites qu'ils verront l'informatique d'une manière plus rationnelle : c'est un outil. Apprendre à utiliser cet outil permet de le désacraliser.
Faire de l'informatique c'est concevoir des programmes, pas les utiliser. C'est comme si en conduisant sa voiture on pensait faire de la mécanique automobile...
RépondreSupprimerUn outil, rien qu'un outil.
SupprimerTrès beau sujet... nous ne nous sommes pas concertés... mais nous sommes en effet sur la même longueur d'ondes pour ce challengeAZ et nous rendons tous les deux hommage à Brigitte !
RépondreSupprimerMerci pour ce partage. J'ai beaucoup de mal avec l'ADN (et je suis ingénieur chimiste de formation). Pas en tant que tel, car l'avenir de notre santé passe bien entendu par la compréhension de notre génome.
SupprimerMais ne soyons pas dupes. Les sociétés américaines qui proposent ces tests ne le font pas pour nos beaux yeux (ou peut-être que si, justement). Quel usage sera ensuite fait de toutes ces données ? C'est bien ce que je crains.